Comme beaucoup de membres, j’ai des fantasmes. Comme beaucoup je pense aussi, je surfe sur le site pour lire des histoires érotiques, voir des photos ou des vidéos, le vice est entré dans mes surfs amen.

Je discutais avec Monsieur Gyné sur le tchat, sur son profil en guise d’avatar, il avait mis une photo de table de gynécologie avec cette phrase : elle vous attend. Pour satisfaire ma curiosité, je lui ai demandé s’il en avait une chez lui.

• Non, je n’emmène pas du travail la maison, j’en ai une à mon cabinet, cela me suffit ! M’a répondu Monsieur Gyné.

Au fil des discussions, pour le provoquer, je lui ai dit que c’était un veinard d’avoir tous les jours plein de femmes obligées d’écarter les jambes.

• Oui et non, tout n’est pas toujours roses, croyez-moi.

• Vous en profitez ?

• Jamais, je n’ai pas envie d’être radié de l’ordre des médecins et je tiens à ma réputation. De vous à moi, ce genre de chose avec mes clientes ne me tente pas.

• Alors pourquoi avoir choisi cet avatar ?

• Si j’aime mon métier, j’aime aussi dominer et avoir une femme à ma merci. Une femme soumise bien sûr et volontaire.

• Il y en a parmi vos clientes ?

• Oui, j’en vois parfois qui ont des marques sur le corps, des piercings intimes où doivent se poser des cadenas ou des poids.

• Vous leur parlez de BDSM ?

• Jamais, je ne suis pas là pour les gêner. Mais parlons maintenant de vous. Faites-vous des rencontres ?

• J’en ai fait quelques unes. Je suis sur Fessestivites pour ça mais je suis plutôt timide, enfin au début......

Ce soir là, le courant est passé entre nous. Le fait qu’il soit médecin me rassurait, il devait savoir ce qu’il faisait. Nous avons discuté près de deux heures jusqu’au moment où il m’a demandée si une visite médicale complète orientée BDSM me plairait. Cette question m’a franchement perturbée, excitée, elle a titillé mes neurones pendant deux jours et aussi deux soirs.....

Comme il n’habite qu’à une heure de chez moi, je me suis décidée à lui adresser un message pour lui indiquer qu’il m’avait troublée et que sa proposition me titillait. Il m’a proposée un rendez-vous un soir à 20 heures pour que nous puissions aller dîner au restaurent après qu’il m’ait martyrisée. Ses conditions étaient simples, discrétion totale et que je sois toute à lui une fois que je serai entravée sur la table de gynécologie. Le soir même sous la couette, mes doigts devenaient fous !

20 HEURES

Très intimidée, je sonne à l’interphone. Le claquement de la gâche électrique de la porte m’a faite sursauter et ramenée sur terre. Il m’a reçue en blouse blanche et priée de me dévêtir complètement avant de m’installer sur sa table de gynécologie. Ce sadique, beau comme un dieu, s’est approchée de moi avec deux sangles et un sourire à faire fondre la banquise.

• Il est encore temps d’arrêter et d’aller dîner si vous ne vous sentez pas de jouer. Par contre, une fois que je vous aurai entravée, vous allez y passer et peut-être même que je vous baiserai si vous êtes sage.

• Je serai sage !

Cette réponse m’est venue spontanément sans réfléchir. Un peu comme une gamine innocente sauf que là, je venais de lui donner mon accord pour qu’il me baise s’il le désirait. Il a fait bien pire !

Monsieur Gyné a entravé mes chevilles avec ses sangles, mes poignets avec d’autres puis, avec une large ceinture il a bloqué mon corps sur la table. Effectivement, je ne pouvais pas être plus offerte et à sa merci. En touchant mes seins pour une palpation conventionnelle, il a commencé par me dire qu’ils pointaient beaucoup, soulignant par là qu’il voyait clairement que la timide devenait salope. Au moment de me mettre un spéculum il m’a clairement annoncée que mon sexe parlait pour ma tête et que ma lubrification était généreuse....

Effectivement, malgré la petite boule d’angoisse, j’étais ultra excitée. Par contre, quand il a commencé à toucher mon anus en y mettant du gel, je me suis affolée. Monsieur Gyné m’a expliquée que l'anuscopie est un examen médical. Il fait partie de l'examen proctologique qui comprend également le toucher rectal et la rectoscopie. Cet examen est réalisé à l'aide d'unanuscope qui est une sorte de spéculum que l'on insère dans l'anus. Il était obligé de me le faire.

Ce qu’il n’était pas obligé de faire, c’est de me titiller le clitoris avec un magic wand massager sous prétexte de me décontracter. Si je tirais sur mes entraves, ce n’était pas de douleur, c’est parce qu’il maîtrise le sujet clitoris ! Je suis montée à la vitesse grand V très vite. Ce sadique ne m’a pas « achevée » !!!! NON, il en a profité pour m’introduire son spéculum anal et, une fois en place, a retiré le magic de mon clito. Je l’aurai tué car je voulais jouir, j’étais au bord de l’implosion.

Et là, il m’a indiquée que j’étais très encombrée. La honte ! Pire encore, ce sadique a rajouté que « mon cul sale » devait obligatoirement être nettoyé pour qu’il puisse poursuivre son examen. Si j’avais pu, je serais passée sous la protection hygiénique déroulée sur la table pour me cacher. Sans rien me dire de plus, il s’est absenté quelques secondes pour aller chercher une potence et une poche à lavement. « Oh mon dieu » me suis-je dit !

Toujours très professionnel, il a introduit la canule dans mon anus puis a ouvert l’arrivée d’eau. Beaucoup moins professionnel il a repris son magic wand et s’en est amusé sur mon clitoris. Nettement moins professionnel il m’a annoncée : « serre les fesses salope, si tu a des fuites, je te fesse la chatte » ! Je l’ai entendu ranger quelque chose sous la table, les yeux fermés et concentrée sur mon anus très perturbé par les vibrations de devant, je n’ai même pas regardé ce que c’était. Je n’en n’avais plus rien à faire. Ce sadique a à nouveau retiré le magic wand massager quand il m’a sentie venir. A la place, quelques secondes plus tard, j’ai senti quelque chose de chaud à l’entrée de mon vagin. J’ai immédiatement compris ce que c’était quand il s’est enfoncé en moi. Ce n’est pas qu’il me baise qui me posait problème j’en mourait d’envie, c’est qu’il le fasse en même temps que le lavement !

Il allait me faire bien pire !

Après un petit moment de coït, c’est terriblement bon sur une table obstétrique, il s’est à nouveau arrêté pour retirer la canule de mes fesses. Il a ajouté du gel froid, s’est positionné contre mon anus en me disant « je te fais la totale, cela aidera le lavement à remonter ». Quand j’ai dit « non, stop, je ne veux pas » ce sadique a posé son magic wand massager sur mon clitoris. Mes réfutations se sont envolées, je n’ai plus rien dit, je me suis laissée faire. J’ai à peine eu mal quand son gland est entré en moi, cette petite douleur furtive s’est vite transformée en une drôle de sensation. Comment dire, j’étais sodomisée certes, mais en même temps la sensation prenait tout mon ventre. Et là, il a recommencé avec son magic wand !!!!! Quelques secondes plus tard, je décollais pour Mars. Ce sadique ne s’est pas arrêté de me sodomiser pour autant. Je peux vous affirmer que ses entraves sont solides ! Je n’ai jamais joui aussi longtemps, je ne sais même pas si je me suis arrêtée de jouir pendant au moins xx minutes, je ne sais plus, je ne sais pas. Cette jouissance paroxystique me terrassait totalement.

Quand il s’est retiré, il a remonté un truc et m’a dit de me laisser aller. J’avais un peu honte mais au point où j’en n’étais..... Le rejet de mon lavement était lui aussi jouissif. Mon corps convulsait, je perdais la tête et divaguais. Après m’avoir libérée, monsieur Gyné a étalé une couverture sur moi et m’a laissée un bon moment pour me reprendre. Je l’ai remercié et traité de fou. J’ai eu le droit d’aller aux toilettes, mais pas seule, il m’y a accompagnée en me tenant pour pas que je tombe. Je n’ai pas eu le droit de fermer la porte. C’était assez gênant même après tout ce que j’avais vécu avec lui. Il est venu me voir après que j’ai passé la moitié de son rouleau de papier toilette. A la main il avait une protection intime assez grosse à mettre dans ma culotte en dentelle qu’il m’a tendue en même temps. J’étais nettement moins jolie avec ça mais ce n’était pas une mauvaise idée !

Monsieur Gyné m’a invitée au restaurent, un super resto où nous avons parlé de choses et d’autres. Je l’ai à nouveau remercié de cette soirée, de cette expérience inoubliable tout en le traitant de grand fou. Il m’a indiqué que l’on peut faire encore bien plus, je n’ose même pas imaginer ce que cela doit être.

Le lendemain il m’a adressée un message pour me dire que j’avais oublié ma carte « sécul » et il me proposait un rendez-vous la semaine suivante pour approfondir mes examens. Je n’ai pas hésité une seconde ! Je vous raconterai ça une autre fois, là il faut que j’apaise le feu qui couve en moi.

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